Criteo poursuit son développement rapide.
Pretty Simple entre dans le Top 10 des jeux.
Avec 6 % de croissance en 2013, l'industrie française du logiciel est à la fête ! Sans « l'accident » Ubisoft, dont le chiffre d'affaires a plongé de 250 millions d'euros l'an dernier, cette croissance serait de près de 9 %. « Les éditeurs font mieux que résister à la crise. Ils tirent la croissance », se réjouit Bruno Vanryb, cofondateur d'Avanquest et président du collège éditeurs du Syntec numérique, commanditaire de la quatrième édition de l'étude annuelle Top 250 réalisée par EY et dont « Les Echos » sont partenaires. Un jury, présidé par Julien Villedieu, délégué général du Syndicat national du jeu vidéo, a également distingué trois éditeurs pour leurs performances.
Yves Vilagines